En février dernier, notre équipe de journalistes Shaïnez, Noémie, Léo, Maïdine et Youssef sont allés à la découverte des ateliers “nature”, à Saint André, où les élèves de la classe SVPO préparaient l’arrivée du printemps.

 

Retour sur l’interview de notre équipe de journalistes :

– Que faîtes-vous à St André ? Quel est votre projet ?

– Nous faisons des semi de haricots, de tomates, des plantes aromatiques… Nous avons des carrés de potager dans lesquels nous faisons pousser des fruits et des légumes de saison. Nous décorons l’accueil avec des fleurs.

– Quels fruits et légumes cultivez-vous ?

– Nous cultivons des haricots, des poireaux, des carottes, des courges, des courgettes, des tomates, du basilique, du persil, de la menthe…

– Faites-vous de la culture biologique ?

– Nous sommes écologiques donc nous essayons de faire de la culture sans pesticide. Les fruits et les légumes ont meilleur goût. Nous faisons aussi de la permaculture c’est-à-dire nous mettons sur le tas de compost les plants de légumes que nous avons en surplus et nous les laissons pousser naturellement. Le compost étant rempli de vitamines, les légumes se développent plus rapidement et la récolte est plus abondante.

– Durant quelle saison travaillez-vous le plus ?

– Nous travaillons surtout au printemps, jusque début juillet. Ce sont les saisons les plus chaudes, durant lesquelles les plants se développent le plus.

– Peut-on acheter des fruits et des légumes que vous cultivez ?

– En collectivité, nous ne pouvons pas vendre les fruits et légumes pour des raisons d’hygiène mais nous pouvons les consommer en petits groupes. Cependant, si nous produisons en grande quantité des fleurs ou des plantes vertes, nous pouvons les vendre et les bénéfices de ces ventes servent à financer, en partie, notre projet nature.

– Avez-vous d’autres projets à venir ?

Oui, plein de projets ! Nous allons faire un jardin de senteur dans les carrés du potager, construire un hôtel à insectes et un épouvantail. Enfin, nous aimerions construire un mur végétal à l’IJA.”